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31 mai 2009 7 31 /05 /mai /2009 14:00
Samedi dernier, nous étions dans la famille de l'ours, et nous sommes passés au cimetière. J'ai expliqué à la nounette que c'était un endroit où on pensait fort aux gens qu'on avait beaucoup aimés, et je l'ai suivie pendant qu'elle gambadait dans les allées.

Et, tout en regardant les dates, en faisant les liens entre les noms sur les tombes, j'ai vu ce qui ressemblait aux barreaux d'un lit d'enfant ... je me suis approchée, et mon coeur a manqué un battement. Dans ce petit enclôt, fait de grilles de fer forgé peintes en blanc, juste quelques mots d'une infinie tendresse pour une petite Violette qui a vécu de juillet à août 1932.
J'ai pensé aux parents, à tout l'amour, l'espoir et la détresse, à ce petit lit qu'ils ont fait pour le repos de leur enfant. J'ai pensé à ce tout petit bébé. J'y pense encore. Je revois son petit lit, au milieu de cet endroit si calme, niché dans une vallée si belle, pour une enfant qui porte le nom d'une fleur.

Et ce vendredi, Catherine a posté un commentaire, où elle nous exhorte à ne pas hésiter à dire, à écrire, à faire résonner le nom des enfants absents ...
Alors oui, nommer les enfants qui ne sont pas arrivés jusqu'à naître, ou les enfants qui sont nés mais morts trop vite ... Les nommer pour les faire exister.
Pour que leurs parents sachent que cette petite vie a compté, qu'elle a touché des vies, qu'elle a changé des choses, qu'elle est présente dans le coeur d'autres personnes que ceux de la famille proche. Qu'on y pense, parfois. Qu'on essaie de se rappeler les dates anniversaires.

Je pense à d'autres enfants absents.

Ma prof de yoga prénatal, Catherine (aussi), attendait un bébé à l'époque où elle nous faisait cours ... et le jour où je lui ai envoyé une photo de ma nounette, rayonnante de fierté maternelle, en demandant des nouvelles de son bébé sans doute déjà né ... j'ai reçu un petit mail, très gentil, m'apprenant que le petit Noé n'avait pas pu naître.
J'ai failli répondre. J'ai failli cliquer sur la touche et écrire à quel point j'étais navrée, désolée, effondrée ...
Mais j'ai pris mon téléphone. Parce que me suis dit que si je ne le faisais pas, je ne saurais plus quoi dire par la suite. 
Il paraît que presque personne n'a appelé. Les gens ont écrit, oui, mais pas appelé.
J'ai tellement gagné à l'avoir fait. Parce que Catherine avait envie de parler. Elle m'a dit "c'était une expérience lumineuse". Nous nous sommes revues, elle nous a fait partager cette lumière. Je me rappelle maintenant que quand elle, qui a accompagné tant de femmes enceintes, a senti qu'à 6 mois de grossesse elle allait perdre son bébé, elle a pensé "ça ne peut pas m'arriver à moi". C'est la pensée qui m'a percutée quand j'ai vu mon propre bébé, bleuissante dans les bras de son père.
Je ne savais pas qu'on pouvait vivre quelque chose de beau à ce point, dans cette relation si pure avec un enfant qui ne naîtrait jamais. Je sais que le papa a eu plus de mal à accepter cette perte, ils sont partis quelques mois sur un autre continent et j'ai perdu contact avec Catherine.
Je me rappelle que l'ours et moi, en l'apprenant, avons dit "c'est joli, Noé".
Petit Noé, sais-tu, je pense encore à toi.

Il y a aussi le fils de mon collègue, qui n'a pas survécu à un malaise similaire à celui de la poupette.
Une quarantaine de mamans d'août 2006 se sont recueillies le jour de son enterrement, et lui ont dédié le "titre de la semaine" au creux de notre forum : "Bon voyage, Maxence".
Où que tu sois, si tu es ailleurs que dans nos coeurs, j'espère que tu l'as senti, cet élan vers toi, petit Max. Mes amies se souviennent encore de toi.
J'ai écrit à son papa, et à travers Kriss c'est le souffle de Gabin et la sagesse incroyable de sa maman qui m'ont aidée, avec un peu d'inspiration de Loune aussi - je sais que ma lettre l'a touché, et peut-être, un peu réconforté.
Je le sais parce qu'un matin, mon collègue est venu me montrer les dernières images de son fils, le matin de sa mort. Comme il était beau, ce petit garçon de 6 mois, au visage rond, au sourire radieux, aux gestes vifs.
Comme la vie est injuste. Comme la vie fourmille d'imagination aussi, puisqu'une petite Amarante a vu le jour dans cette famille il y a un an ...
Petit Maxence aux si beaux yeux noirs, j'ai tenu ma promesse tu sais. J'ai allumé des bougies, dans les plus jolies églises que j'ai vues, celles où je me dis que si j'étais un ange, je m'y arrêterais bien une seconde. Alors si en plus il y a de vrais cierges, avec une vraie flamme qui va s'épanouir, apporter un peu de lumière et puis s'éteindre, alors j'en allume un pour toi.
Etais-tu là, petit Maxence, quand la poupette a failli nous quitter ? est-ce toi qui a alerté l'ours, qui lui a donné cette impulsion qui a sauvé notre enfant ?

Je voudrais dire à Cécile qu'elle aussi a pris sa place dans mes pensées. J'étais enceinte, mais Kriss ne le savait pas, quand elle m'a parlé de cette petite fille, au creux de sa maman, et de cette décision si affreuse et si limpide que les parents ont dû prendre. Un tout petit bout d'eux, qui dormait et dort encore. Un tout petit bout d'eux qui a touché le tout petit bout de nous, comme un relais - la vie est si fragile, la vie est si précieuxe.
Cécile qui aujourd'hui flotte auprès de sa maman, et veille sur son petit frère Axel, dont la venue au monde avait illuminé ma journée, et dont j'ai parlé ici.
Et je voudrais dire à sa maman que la fatigue et l'émotion ont sûrement leur part dans les larmes qui viennent plus facilement. Qu'à travers Axel elle voit peut-être les moments qu'elle n'aura partagé qu'en pensée avec sa fille ? Que chaque enfant qui naît doit prendre sa place au sein de la fratrie - et que la fratrie réagit, c'est normal, et Cécile en fait partie. Que guérir, c'est oublier, et qui veut oublier ? Les arbres gardent sur leur tronc la marque de chaque blessure, cicatriser ce n'est pas effacer - maintenant tu sais que nous sommes plusieurs à penser à cette blessure qui pulse en toi.
Axel est petit, il va te guider aussi, il va te montrer, comme ma poupette nous montre que la vie est si puissante.
J'aimerais te voir en vrai, Catherine, pouvoir t'aider, te soutenir quand je te lis si fragile, si désemparée, si isolée au sein d'une famille qui a posé un voile de tendresse et de plomb sur la mémoire de ta fille ...
mais en vrai je suis si maladroite.
Mais je pense à vous. Je t'embrasse.
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26 mai 2009 2 26 /05 /mai /2009 20:00

Peu de temps pour écrire ce soir, car aujourd'hui était le dernier Mardi de Sabrina avant la fin du congé sabrinal ...

bouh

juste pour dire :
il y a 6 mois, jour pour jour, heure pour heure
Elsa est sortie de Necker.
Oui, je compte encore (d'autant que vendredi elle a son contrôle technique par la neurologue).

Et aujourd'hui, elle a fait rigoler Sabrina à force de se déplacer en douce, de tenter de se mettre à 4 pattes sans savoir ce qu'elle essaie de faire (donc elle se viande sur le ventre, mais pas grave, un coup de tête & un coup de patte et hop, sur le dos), de tenter de se mettre debout sans pousser sur les gambettes (donc elle s'est renversé le mini landau de sa soeur sur l'épaule, mais pas grave, elle en a pillé le contenu) ou d'ouvrir le placard du bureau pendant que je soutenais Sabrina pour son premier essai (fructueux) de couture ...
et là j'ai récupéré ma poupette avec le contenu de l'étagère inférieure dans les mains, donc je ne veux même pas imaginer ce qui nous pend au nez quand elle se déplacera.

En même temps, la grande soeur a ouvert la voie.
Là elle est montée sur sa petite chaise pour attraper sur une étagère les petites fioles de sable rapporté du Namib, et les verser une à une sur le plancher (tout ça pour que je passe l'aspirateur, hein).
Enfin, ça aurait pu être pire, elle aurait pu se suspendre aux rideaux et casser le mur en arrachant la tringle.
Remarquez, c'est peut-être elle qui l'a fait, je n'étais pas là, je n'ai pas vu l'action.

Au moins, on a gardé un souvenir du dernier mardi de Sabrina .
 
Si quelqu'un s'y connaît en bricolage, comment on répare un mur dont le placo a été arraché par 13,5 kgs ou 13,2 kgs de bêtise bouclée ?






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22 mai 2009 5 22 /05 /mai /2009 06:35
C'est le post-it qu'il y a sur la porte, pour ne rien oublier d'important
parce qu'on part en long week-end !
A bientôt ...
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10 mai 2009 7 10 /05 /mai /2009 08:54
Suite au commentaire de Loune, je suis allée voir et j'ai découvert que effectivement, Noun et Nounet(te) forment un couple de divinités égyptiennes (ils ne disent rien sur mini-nounette et micro-poupette).
Je vous copie ce que j'ai trouvé  :


Noun a le sens de  "chaos primordial ". Noun correspond à l'eau aérienne des débuts. Nounet est l'Eau nourricière originelle.

Lol.

(alors, l'ours Noun, kestudideça ?)
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9 mai 2009 6 09 /05 /mai /2009 06:34

C'est l'anniversaire de l'ours .

De manière amusante, la somme des chiffres de son âge donnt toujours le même chiffre que la somme des chiffres de mon âge.
(C'est parce qu'on a 9 ans d'écart).

L'ohptalmo lui a dit la semaine dernière "eh, tout va bien, vous avez encore quelques années avant de devoir utiliser des verres progressifs !"
Ca calme.

Mais on n'est pas dans quelques années, et l'ours à la casquette est encore un ptit jeune alors
BON ANNIVERSAIRE MON CHOUPINOU !!


c'est lui, là =>
(vous trouvez qu'il fait son âge ? nan, hein)



photo des cadeaux (confectionnés de nos mains) à venir




(je me demande s'il va lire mon blog)

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7 mai 2009 4 07 /05 /mai /2009 20:12


On est reviendus de CenterParcs !!!
(j'ai l'impression de l'avoir déjà écrit ce billet, scratch scratch ?)
Comme d'habitude faudra attendre un peu pour le détail ...
Disons que
 -la nounette a adoré, la nounette est crevée (il a fallu la traîner de force hors de la piscine, même la promesse du Baluba ne parvenait pas à l'arrêter).
- la poupette s'est éclatée, la poupette est crevée.
- les parents se sont changé les idées, ont mitraillé à coups de Canon (l'appareil photo pas l'arme), les parents sont crevés.

Pour répondre aux bons voeux de mes copines (merciiii), non je ne me suis pas reposée du tout. J'ai la tête qui tourne et l'impression d'être rouée de coups.

Pourtant, côté sommeil, d'une part les matelas étaient meilleurs qu'au Lac d'Ailette, d'autre part, hahaha, diaboliques que nous sommes, cette fois on a filé le grand lit à mini, extatique, et on a rapproché deux lits jumeaux pour nous, histoire d'avoir un meilleur soutien. Gnark.
Evidemment, on n'a toujours pas énormément de pouvoir sur le sommeil de la poupette, premier indice.

Du reste, promener 13kilos sur son dos en courant en rond dans le circuit à côté de la piscine à vagues (mais pas quand il y a les vagues, hein, ça fait trop peur), avec un courant qui entraîne, ça fait des courbatures aux épaules et les jambes en compote, deuxième indice. Sans parler du baluba local à explorer et des balançoires extérieures à pousser, troisième et quatrième indices.

Ca me fait penser que j'ai testé les épreuves du parcours de santé : la honte, quand je pense que j'ai fait du cross-country au niveau départemental et même régional (oui, bon, ce jour-là personne n'avait voulu se lever à 6h alors j'ai été quasi qualifiée d'office mais quand même, ça en jette) et des barres asymétriques en compétition, tout ça pour me planter misérablement à chaque fois alors que l'ours s'en sortait les doigts dans le nez ... passons.

Donc, disais-je, je ne me suis pas reposée. En fait, 3 nuits, c'est court quand on ne connaît pas l'endroit. Ca ne donne pas le temps de se poser. On a à peine fini la course pour préparer les bagages et jeter tout et tout le monde dans la voiture qu'il faut courir pour les refaire, entre les deux on a passé autant de temps à découvrir les lieux qu'à en profiter.
Cela dit, je n'ai jamais pensé que j'arriverais à me reposer. Et on avait changé exprès.
Justement, le lac était joli, avec une belle lumière, plein de canards qui venaient chercher du pain quasiment dans la salle à manger, d'écureuils et de lézards, il a fait beau les deux derniers jours (sur 3 jours 1/2 ça le fait, et le plus jubilatoire évidemment c'est qu'il commençait à faire mauvais quand on est partis), on a fait des feux dans la cheminée, on a joué à croire qu'on était dans notre maison de campagne ...
Et surtout, pendant 3 jours, je n'avais pas à porter mon attention sur autre chose que sur les filles, et rien que ça, tout de même, c'est un réel confort.

J'ai même réussi à tricoter une bricole et à lire le quart d'un livre, rhaaa lovely.

Et mon kif à moi, ce sont les photos, et ça, j'en ai quelques gigaoctets.

En résumé donc c'était très chouette et je vais aller me coucher .


Merci pour vos commentaires !

Il faudra que je fasse un comparatif, j'attends les impression de Sabrina qui déserte le mardi de Sabrina de la semaine prochaine (est-ce que je fais des trucs pareils, moi ?) pour aller tester le CenterParcs de Normandie.

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5 mai 2009 2 05 /05 /mai /2009 10:57

 
Ahem.
Je sais, je ne suis jamais très à l'heure pour poster les photos - et encore, c'est mieux que pour les envoyer.
Donc comme là, présentemment, nous sommes en train de tester le Baluba de Sologne, spécialement pour faire un rapport à Anne-Valérie (c'est pas du dévouement, ça ?), je me suis dit, ça serait bien de vous mettre les images du séjour précédent, histoire d'être au diapason (puisqu'il va refaire beau, cékoul !).

Nous nous étions arrêtées au moment où Sabrina nous avait rejoints.
La suite, ça donne donc ça (moments choisis) !


 





























































































































Et quelques images de l'AquaMundo, prises le dernier jour
(quand j'ai osé prendre l'appareil photo dans les vestiaires)
La pataugeoire, les toboggans ...


















































Oui, j'avoue, j'ai un peu retouché l'image : normalement, on n'est pas tout seul dans le bassin ...

































Bon, et dis-nous, Krissounette, comment va Monsieur Kriss ?

cette note a été programmée


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4 mai 2009 1 04 /05 /mai /2009 08:00
Cette note a été programmée.

S'il y a une chose que ma poupette m'a apprise, je pense, c'est l'attente. La peur. L'incertitude. Le découragement. La honte des moments de faiblesse, de doute. L'angoisse. L'espoir, prêt à s'embraser ...
On essaie de ne pas y penser - comme si c'était possible. Se contrôler pour ne pas scruter son bébé, tenter de déceler peut-être un indice, une explication au moins - donner du sens, donner de la perspective. Se retenir d'aller chercher sur internet des bribes d'information, qui nous laisseront plus désemparée encore, plus dépendante des analyses, des  médecins ...
Mais savoir ce que c'est pour, enfin, savoir quoi faire. Même si c'est dur, même si c'est déchirant ...  ... Etre dans l'action, avoir un rôle, pas être ce spectateur abruti d'inquiétude, de terreur ... et d'espoir ... Cet espoir tenace, qui rampe sous la pensée, qui tue à force de chercher à quoi se cramponner

oh pourvu que ce ne soit rien, pourvu que mon bébé aille bien ... pourvu que toutes ces paroles rassurantes - et que j'écarte parfois même avec hargne - soient vraies ...
mon bébé, bats-toi, je suis là, je guette les signes, je veux garder confiance en toi ...


L'espoir qu'on voudrait étouffer de peur de s'effondrer si jamais les nouvelles sont mauvaises ...
La peur qui ne part plus, si pesante et si vaste qu'elle emplit le fossé creusé entre nous et les autres ...

L'attente.

L'attente.

Bientôt 6 mois que l'accident a eu lieu. On ignore toujours pourquoi, et ce qui s'est passé.
On m'a dit à Necker que ma poupette saurait nous redonner confiance, nous apprendre à revivre.
C'est vrai.
Je suis toujours à l'affût de ses moindres progrès, je compare, je guette, j'essaie de me raisonner, de me retenir, de lui donner son temps et son espace. J'essaie de ne pas m'inquiéter. Je m'en veux d'attendre d'elle qu'elle me rassure.

J'ai toujours peur, et pourtant, la peur est si diffuse qu'on pourrait l'oublier.

Car nous avons eu de la chance, et la poupette va bien. Elle s'épanouit. Elle m'éclate. C'est ma petite miss sourires.

Et aujourd'hui, ce n'est pas vers la santé de ma poupette que es pensées s'envolent. C'est vers une autre fillette (et une autre maman). Une enfant vive, enjouée, jolie, futée, rieuse, mais qui ne grandit pas ... Peut-être ce n'est rien, ou du moins rien de grave - le médecin va parler aujourd'hui aux parents.
ce combat perdu d'avance contre la peur et l'espoir n'est pas le mien aujourd'hui,
mais pourvu, pourvu,
... pourvu ...

Céline, je pense à vous.
Si quelqu'un peut m'appeler pour me donner des nouvelles.
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3 mai 2009 7 03 /05 /mai /2009 16:35
Bon, comme je l'avais précisé un peu avant, on retourne à Centerparcs ... pas le même, et pas la même durée ...
et on part ... demain !!!
J'ai réimprimé ma liste - je maîtrise total,
l'ours a sorti les sacs,
et ça va être soirée paquetage  avant le tétris 3D.

La différence ?
En mieux : j'ai des maillots de bain.
En moins bien : je vais louper un mardi de sabrina .

Si j'ai le temps, je vous mettrai les dernières images du séjour précédent, histoire que ça ne soit pas du réchauffé.

En attendant, la nounette clame qu'elle est "la reine du Baluba !!!"

C'est beau, les vacances.

A jeudi !

Qu'est-ce que j'emporte comme ouvrage, moi ?




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22 avril 2009 3 22 /04 /avril /2009 12:30

Tout est dans le titre
Je pense à toi


et spécialement pour toi, une performance de la nounette-qui-ne-tient-pas-en-place-même-pas-une-seconde



alors, il te plaît ton cadeau ?
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